Nos clients témoignent

Cette mise au vert suppose une attention toute particulière quant au suivi de l’arrosage des quelques 550 arbres plantés et pour laquelle l’aide des sondes d’Urbasense a été très précieuse.
Ces dernières nous ont en effet permis, non seulement de constater, grâce aux préconisations d’arrosage envoyées, que les besoins en eau n’étaient pas aussi importants que nous l’imaginions – nous avons donc fait des économies ! – mais aussi de faciliter grandement notre travail de suivi des arrosages puisque, grâce au bulletin quotidien d’Urbasense, il nous est désormais possible d’être informés en temps réel de la ré-humectation de la motte opérée par les équipes de maîtrise d’ouvrage et donc d’intervenir sans délai si nécessaire.
Une réactivité qui nous fait gagner un temps précieux et ce, toujours au bénéfice de nos arbres !

Alors que jusque-là, pour nos arrosages, nous travaillions de manière traditionnelle, nous arrosons désormais au bon moment et avec la bonne quantité d’eau, grâce aux mesures remontées par les sondes d’Urbasense et aux préconisations toujours très précises de nos interlocuteurs.

Si cette approche innovante sur le marché permet de réaliser d’importantes économies d’eau chaque année, elle contribue aussi à améliorer notre confort de travail au quotidien et à assurer la pérennité de nos ouvrages. Ces bénéfices justifient à mes yeux la généralisation de cette approche ainsi que son utilisation à plus grande échelle dans nos métiers.

Notre objectif, en leur confiant la mission de gestion de l’arrosage : diminuer la consommation d’eau bien sûr, mais aussi diminuer le développement des maladies et accentuer l’enracinement. Pour ce faire, début 2020, nous avons équipé de sondes tensiométriques cinq terrains d’une plaine de jeux et un terrain d’honneur et suivi les préconisations envoyées par l’équipe d’Urbasense chaque lundi.

Même si parfois nous étions inquiets d’arroser moins que d’habitude, notamment le terrain d’honneur, nous réalisons, après une année de collaboration, que nous avons eu raison de faire confiance à Urbasense : non seulement nous avons fait des économies d’eau, mais en plus nous avons beaucoup appris grâce à cette nouvelle approche plus scientifique de nos métiers.

Nous avons notamment particulièrement apprécié la disponibilité de nos interlocuteurs toujours prêts à échanger avec nous à la moindre de nos questions. C’est donc une aide à la décision très précieuse que nous avons trouvée auprès d’Urbasense.

Il est en effet très rassurant de savoir quand il est nécessaire d’arroser plutôt que d’arroser pour se rassurer. Grâce aux indications remontées par les sondes sur le taux d’humidité des sols et aux préconisations d’arrosage, nous avons ainsi pu piloter beaucoup plus facilement nos entreprises d’arrosage. Un gain de temps qui s’est doublé d’une économie puisque nous avons pu sortir la garantie de plantation de nos devis.

Forts de ces premiers résultats positifs, nous avons décidé d’aller plus loin en équipant de nouveaux sites – le parc et la coulée verte sur Val-Fleury et l’alignement d’arbres de l’avenue Foch – avec les sondes d’Urbasense. Nous sommes en effet convaincus qu’à l’avenir nos métiers ne pourront plus se passer de ce type de solutions.

Grâce au suivi tensiométrique sur des Gleditsias plantés dans une rue très chaude de Pantin et aux préconisations hebdomadaires envoyées par Urbasense, nous sommes ainsi passés de 300 L d’eau tous les 15 jours à 3 arrosages dans l’année. Et nos arbres se portent très bien !
Forts de ces excellents résultats, nous avons décidé de généraliser cette démarche en imposant la présence de sondes dans les cahiers des charges de tout nouveau projet sur notre ville. Nous sommes en effet convaincus que la technologie a encore beaucoup à nous apporter.

Lorsque j’ai entendu parler pour la première fois de tensiométrie, en 2013, j’ai été tout de suite intéressé. Cette technologie semblait en effet permettre non seulement de diminuer considérablement les volumes d’eau utilisés, mais aussi d’optimiser la reprise des végétaux. Malheureusement à l’époque, notre direction générale des services n’a pas été convaincue par l’outil. Ce n’est qu’en 2016 que les choses ont commencé à bouger. Et pour cause, nous envisagions de mener beaucoup de projets neufs sur la ville, incluant la plantation de gros sujets. Par ailleurs, dans la mesure où la ville d’inscrit depuis 4 ans dans une dynamique d’économie d’eau, l’aspect financier était évidemment important. C’est pourquoi nous avons décidé de faire appel à Urbasense. Notre objectif : éviter les pertes de jeunes sujets et donc d’argent et de temps. Et nous n’avons pas été déçus.

Le suivi tensiométrique nous a permis de diminuer très clairement les programmations d’arrosage : d’un arrosage programmé toutes les deux semaines, nous sommes passés à un arrosage avec la juste quantité d’eau si préconisation. Concernant l’arrosage à la tonne, même si les choses sont un peu plus compliquées, nous observons tout de même un espacement des passages et un arrosage par essence là où nous arrosions tout uniformément. Nous sommes donc convaincus que plus nous aurons de sites équipés, plus nous pourrons affiner nos arrosages à la tonne.

Forts de ces premiers succès, nous avons décidé en 2016 d’améliorer le suivi hydrique de la pelouse du stade Chaban Delmas. Dans le cadre d’une rénovation partielle du tapis végétal, Urbasense nous a accompagné en positionnant des sondes tensiométriques à différentes profondeurs du terrain pour mesurer l’humidité du sol et permettre des préconisations d’arrosage précises. Une collaboration qui a très vite porté ses fruits puisque nous avons pu non seulement obtenir une bonne levée du gazon tout en assurant une densité optimale de la pelouse pour la saison rugbystique suivante mais en plus mieux maîtriser l’impact des maladies cryptogamiques.

Nous plaçons par ailleurs beaucoup d’espoir dans cette forme innovante de suivi qui devrait nous permettre, dès la saison prochaine, de mieux lutter contre le pâturin annuel dont l’enracinement superficiel est très problématique pour maintenir la résistance à l’arrachement nécessaire. Grâce aux mesures d’humidité réalisées à différentes profondeurs par les sondes d’Urbasense, il devient en effet possible d’identifier précisément la teneur en eau utile au développement de chaque graminée et ainsi de contrer le développement du pâturin annuel.

Outre ces aspects agronomiques, il me semble enfin que c’est aussi en partie grâce à ces mesures précises de l’humidité de nos sols que nous pourrons améliorer les qualités sportives de nos pelouses en dureté de surface, déformabilité donc micro-planéité.

Très vite, j’ai pu apprécier la simplicité de l’interface mise à notre disposition ainsi que l’intérêt des préconisations hebdomadaires d’arrosage. Grâce à ces dernières, il m’était en effet désormais possible de jouer davantage sur le déclenchement des arrosages et ainsi d’optimiser la prestation de cinq arrosages que nous avions commandée auprès d’une entreprise pour cette saison.
Or qui dit optimisation dit forcément économie ! Cette flexibilité est donc précieuse dans le contexte économique contraint qui est le nôtre.

Au terme de cette première saison d’utilisation, mon regard a donc changé sur l’utilisation de la tensiométrie : si cette dernière ne peut en aucun cas remplacer la compétence terrain des agents sur le secteur, il est vrai qu’elle constitue un excellent complément technique pour jouer sur le déclenchement des arrosages. Je suis maintenant curieux de voir dans quelle mesure cet outil nous permettra la saison prochaine de mieux comprendre la reprise racinaire.

Car encore une fois, c’est en aillant une meilleure connaissance et une meilleure compréhension des essences que nous serons en mesure de mieux calibrer les besoins en eau et la durée des arrosages, et donc que nous ferons des économies !

À l’origine de cette décision, un constat : certains de nos arbres montrant des signes de faiblesses, nous pensions qu’ils souffraient d’un manque d’eau. Nous avons donc décidé avec Urbasense de mettre en place en 2016 une expérimentation sur quelques arbres. Grâce aux sondes installées et aux premiers résultats remontés, nous avons compris que si nos arbres souffraient, ce n’était pas en raison d’un manque d’eau, mais bien à cause d’une amplitude de température trop importante entraînant une chute des feuilles.
Nous avons également pu constater que, dans l’ensemble, nous arrosions trop nos arbres sans nécessairement tenir compte de la différence de besoins entre les essences.

Forts de ces premiers résultats, nous avons donc fait le choix, en 2017, d’étendre l’usage de la tensiométrie à un nombre plus important d’arbres. Un pari payant, puisqu’en nous permettant d’ajuster les quantités d’eau de nos arrosages, les préconisations hebdomadaires d’Urbasense nous ont permis de diviser par deux l’apport d’eau sur une année tout en maintenant l’excellente santé de nos arbres.

C’est pourquoi nous souhaitons aujourd’hui aller plus loin avec Urbasense. Nous envisageons notamment de lancer une expérimentation sur différentes essences afin de mieux comprendre les besoins en eau de chacune. Nous pourrons ainsi pouvoir choisir nos essences en fonction de critères objectifs.

Dans ce contexte, la mission d’Urbasense consiste chaque année à mettre en place au mois de mars la trentaine de stations de relevés automatiquesnécessaires pour couvrir notre parc d’arbres d’alignement ; à interpréter les mesures relevées ; à fournir régulièrement à nos prestataires des ordres d’arrosage indiquant les arbres à arroser et la quantité d’eau nécessaire ; et, en fin de saison d’arrosage, à dresser un bilan de l’année et à démonter les boîtiers installés.

En plus d’une économie d’eau par rapport à la méthode d’arrosage traditionnelle, cette démarche nous permet de mobiliser deux fois moins de camions et donc de limiter notre impact en termes d’émissions de gaz à effet de serre. Elle nous permet également d’approfondir notre connaissance de la croissance racinaire des arbres et de mieux comprendre certains phénomènes. Lorsque nous constatons un dépérissement de certains arbres par exemple, nous sommes désormais en mesure, grâce aux analyses d’Urbasense, de savoir si ce dépérissement a pour cause un problème climatique ou un problème d’arrosage et donc d’adopter la bonne solution. C’est aussi pour cette implication que nous apprécions de travailler avec Urbasense : mus par leur esprit d’innovation et loin de s’en tenir à un système établi, nos interlocuteurs cherchent en effet en permanence à nous proposer des améliorations et une optimisation de coûts.

Fort de ces constats, je ne peux qu’encourager les aménageurs à prévoir l’intégration de ces relevés tensiométriques dès le début des projets. S’il est vrai que cette démarche suppose un coût de départ, il faut bien se rendre compte qu’elle est aussi un investissement pour l’avenir. Car un arbre bien planté, dont le système racinaire s’est développé de façon harmonieuse au début de sa vie, est un arbre qui a priori poussera sans difficulté et connaîtra une longévité.

Nous avons ainsi pu constater, dès la première année d’expérimentation, que les racines de certains arbres que nous arrosions moins, en suivant les préconisations d’Urbasense, poussaient en profondeur , parfois au-delà même de la fosse
Comme quoi, un peu de stress hydrique en début de croissance peut avoir des effets positifs !

Avec l’aide d’Urbasense, nous avons également pu constater que certains arbres plantés en bac souffraient en raison d’un système racinaire trop important entraînant un manque de substrat. Un constat qu’Urbasense nous a aidés à dépasser en nous proposant des essences plus à-mêmes de s’épanouir en bac.
Grâce à la tensiométrie, nous disposons donc d’une connaissance toujours plus précise de nos arbres.

J’ai tout de suite été très emballé et curieux à l’idée d’utiliser cette technologie. Nous allions enfin pouvoir arroser nos sols de façon intelligente et plus de manière arbitraire comme nous le faisons trop souvent. Une intuition très vite confirmée dans les faits comme en témoignent les excellents résultats obtenus sur les quelques 300 arbres dont nous assurons le suivi dans le secteur de Paris-Saclay. Grâce aux notifications d’arrosages envoyées chaque semaine par les sondes, nous avons en effet pu appréhender plus sereinement cette année particulièrement sèche et répondre le plus précisément possible aux besoins de nos arbres tout au long de l’été.

Avec l’équipe d’Urbasense, nous avons également envisagé de potentielles pistes d’amélioration. Il serait très intéressant de développer un système d’électrovanne intelligente qui s’ouvrirait quand le sol a soif et non plus « téléguidée » par un programmateur arbitraire.

Difficile donc aujourd’hui pour moi d’envisager de me passer de ce type d’expertise sur mes prochains chantiers. Je suis en effet convaincu que, dans l’arrosage, au final, c’est toujours le sol qui commande. C’est pourquoi j’encourage la plupart de mes clients à faire appel au service d’Urbasense pour gagner en efficacité.