Dans nos échanges avec les acteurs de la gestion de l’eau, nous observons parfois un décalage entre les besoins mesurés sur le terrain (via nos capteurs et analyses) et les décisions d’arrosage prises (fréquence et quantité).
Une des explications possibles : le mot “sécheresse” recouvre en fait trois réalités physiques distinctes.
Les confondre, c’est un peu comme traiter un coup de soleil avec un parapluie : l’intention est bonne, mais le lien avec le problème réel est… limité.